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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 16:24

l'inaptocratie :  Un système de gouvernement où les moins capables de gouverner sont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de la société les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sont récompensés par des biens et des services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs en diminution continuelle.   Jean d'Ormesson

 

 

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10 mai 2012 4 10 /05 /mai /2012 09:58

           

Inventé par le déjà célèbre Slalom Jérémie Ménerlâche, le Biglotron, dont les vrais-faux plans sont au coeur de l’opération “ tu peux t’la mettre “ est sans nul doute la découverte la plus scandaleusement oubliée par les autorités scientifiques, religieuses et militaires de notre époque. Puisse cette conférence contribuer à la notoriété méritée d’une des plus audacieuses inventions qui ait germé dans l’esprit humain. Sachant que tout ce qui n’est pas fini n’est jamais totalement achevé tant que tout ce qui est commencé n’est pas totalement terminé, le professeur Ménerlâche ajoute un bidule au gordomoche ultra-chiadé et le célèbre Schmilblick se transforme en Biglotron.

Célèbre par son imcompétence notoire, j’ai l’honneur de vous présenter le professeur Slalom Jérémie Ménerlâche...

 

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1 avril 2012 7 01 /04 /avril /2012 11:59

                               MERVEILLE DE L’ART CON-TEMPORAIN

 

 

   Un homme habillé avec beaucoup de soin entre dans une galerie d’art contemporaine, regarde chaque tableau avec attention et finit par s’arrêter devant une grande toile toute blanche avec une petite trace qui semble noire. La peinture n’est pas fixée au mur, mais  posée au sol…Il se prend le menton et prenant à témoin un autre admirateur,  se lance dans une longue diarrhée verbale !

 

-  Mon Dieu, quelle merveille ! N’est-ce pas ? dit-il en se tournant vers l’homme près de lui… Comme il est difficile d’exprimer ce que je peux ressentir devant une telle expression de la beauté, cet algorithme dans l’art génératif ne semble que l’expression d’une réalité intra-visuelle qui exclut toutes personnes atteintes de pantaphobie. Voyez-vous, la touche d’empâtement d’une telle méta-précision nous entraîne ipso facto vers une perspective linéaire de l’art génératif et un sentiment d’ubiquité inter dimensionnelle. Quel prodigieux sentiment de l’incroyable fragilité de l’être est donné par ce « matte painting » pseudo classique qui surfe sur un paradoxal vent de modernisme et de réalité visuelle extratemporelle. Quel fabuleux coup de pinceau, du pur génie que d’éliminer toutes couleurs et formes dans un dripping proche du fauvisme et qui dans l’absolue présence du moment, nous ramène vers un retour improbable dans l’enfer du chemin excentré. Cette touche sombre, mais si claire dans une totale noirceur de l’être permet de faire ressentir l’infinie et incroyable fragilité de la vie mais aussi la toute puissance de la pensée extravertie émosensorielle. Nul besoin d’être éveillé pour ne pas y voir le paraceltisme et l’homoverbalisation de l’alpha et l’oméga, du béta et  du psi ainsi que du gamma vers l’epsilon. Pur sentiment de sérénité intérieure lorsque par ce blanc immaculé mais que l’on sent fragile dans sa symbolique virginité, l’âme active l’absolue tentation de l’alliance du haut et du bas, cette ascension horizontale qui pérennise l’ordre et le désordre. Je finirai, au risque de paraître pédant, mais dans une pensée symbiotique et multilinéaire, par manifester cette improbable sensation de plénitude devant l’expression clairement affichée à travers cette toile d’une volonté de réhabiliter l’interface agnostique de la pensée universalo-comtemporaine. Ce peintre ( l’homme se penche en avant dans l’espoir de trouver le nom du peintre, en vain ! ) qui pourrait être qualifié de génie, voir de divin, dans son immense grandeur, à même eut l’humilité de ne pas signer son œuvre…

  A ce moment, un homme que l’on ne voit pas, interpelle un autre.

- Marcel, va chercher la toile qui traîne par terre, faut la ranger.

  Entre alors Marcel, casquette sur la tête, mégot éteint au coin des lèvres, il vient prendre la toile et s’arrête devant elle et appelle son collègue.

- Oh, Bébère, y a un oiseau qu’à chier d’ssus, va être furieux l’patron.              

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11 février 2012 6 11 /02 /février /2012 20:54

     Mon banquier vient de m’appeler … Il m’a dit que j’avais des pépètes de côté et qu’il fallait s’en occuper ! Bon, moi je veux bien, j’l’ai bien esgourdé, mais j’ai surtout du liquide et il me coule entre les doigts. Ma femme dit qu’il me brûle les arpions, mais pour du liquide, il ne faudrait pas que ça soit de la fraîche, ça me fait gondoler !  

     J’suis bien emmerdé avec le banquier, j’ai bien quelques tunes sous l’oreiller, toutes en talbins, du vrai, du grisbi… Des biftons avec un peu de mornifle que j’ai ramassés au black en traînant dans la rue des malfaisants, là où tu peux te faire un peu de galette sans trop t’épuiser. J’n’vais quand même pas me mettre à bosser pour ramasser trois picaillons alors que les fafiots  m’tombent dans la fouille sans transpirer… Facilement gagnés les talbins, et pas du fifrelin… de la galette ! de la vraie ! de l’artiche plein les pognes, de quoi faire briller les mirettes des gonzesses. Un bon p’ti paquet d’avoine que j’ai mis devant moi et que mon  banquier imagine  mettre derrière alors que je l’ai de côté… Putain, ça m’file le tracsir ! ça se tolchoque dans mon goliwog. Y’a pas de lessive assez comac pour blanchir ce black. Un bon pacson d’oseille qu’il faudrait faire tafer mais qui roupille sous l’oreiller, du blé à croquer, du carbure bien saldingue à ventiler avant de se l’ faire tirer par des mal finis qui en voudraient à mes douilles. Pas confiance dans c’banquier qui s’la joue derrière son burlingue avec ses yeux de merlan frit. Encore plus truand que moi, et j’connais bien ses coffres… Pas costauds les gonzes, trois tours de passe-passe et ils jouent les filles de l’air… Il ira s’faire foutre avec sa banque…route ! j’préfère encore  larguer ma soudure à tous vents avec mes poteaux de la belle avant de se faire remettre les pinces et boire l’artiche du ménage, faire fondre le beurre avant qu’on m’l’arrache quoi ! Ah, putain d’Adèle, comment ça s’appelle déjà ? du fric ? des fafiots ? d’la monaille ? du lard ? de l’aspine ? du fifrelin ? des pimpions ? de la maille ? des radis ? du flouze ? de la gibe ? Non !!! Ah ouais, ça y est, ça me revient… C’est de l’ARGENT…………………………      

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 17:18

Bonjour à tous,

 

    Je suis un poil fainéant aujourd'hui ! Anniversaire ! et oui, je suis presque jumeau de Sarkozy ( à un jour près )... Mon grand fiston Johan m'a fait visualiser un spectacle de Dieudonné qui m'a fait hurler de rire. Mais une petite partie m'a particulièrement amusé puisqu'il y parle des USA et particulièrement de G.W. Bush. Ceux d'entre vous qui ont lu mon manuscrit du Chant du Reptile vont comprendre pourquoi... Je vous laisse avec Dieudonné pour un moment de pur bonheur... mais pas que ça !

 

http://www.youtube.com/watch?v=wybgo-rsH7Y

 

 

 

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