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14 juillet 2014 1 14 /07 /juillet /2014 10:10

Il sont malins !!!!!!!!!!!!!!! ( abonnez-vous à contre-info, c'est toujours passionnant )

VACCINATION MULTIPLE DES NOURRISSONS :
A qui profite le crime ?
Tous les primo-vaccins destinés aux nourrissons contiennent désormais un cocktail
pour prévenir 5 voire 6 maladies, alors que seulement 3 protections sont obligatoires.
L’eurodéputée écologiste Michèle Rivasi décrit une démarche “de vente forcée et de
désinformation”.
Aujourd’hui, les parents qui souhaitent faire sur leur enfant uniquement les trois vaccins
obligatoires en France, à savoir diphtérie, tétanos et poliomyélite, ne le peuvent plus.
Le DTP “classique” pour les nourrissons est devenu introuvable en pharmacie, car plus
commercialisé. Pour la primo-vaccination des nourrissons, les parents ne peuvent plus
faire autrement que de recourir à un vaccin “hexavalent”, c’est-à-dire qui contient en plus
trois vaccins non obligatoires, (coqueluche, haemophilus influenzae et l’hépatite B). Les
gens se rappellent-ils les dégâts gravissimes qui ont été générés il y a quelques années par
le vaccin Hépatite B. Cette démarche de vente forcée et de désinformation est pour le
moins scandaleuse et même criminelle.
De plus, tous les vaccins contiennent de l’aluminium en tant qu’adjuvant. En multipliant le
nombre de maladies desquelles on souhaite protéger le nourrisson, on augmente la quantité
d’aluminium dans la dose injectée. Or, à deux mois, la barrière hémato-encéphalique reste
perméable et le système immunitaire demeure fragile. Des études ont montré qu’à cet
âge-là l’aluminium peut passer au niveau du cerveau.
On peut parler d’une tromperie. Quand on sait que le professeur Daniel Floret, président
du Comité technique des vaccinations, est empêtré dans d’énormes conflits d’intérêts avec
les fabricants de vaccins, on est en droit de se poser des questions. A qui profite le crime ?
Aux laboratoires pharmaceutiques évidemment. L’ancien DTP valait 10 frs ( 1.5 € )

la nouvelle formulation est facturée 40 euros ; il doit bien y avoir aussi quelque part une
entente entre les politiques et les laboratoires pharmaceutiques. Ces derniers représentent
une force colossale qui téléguide la politique aujourd’hui.
ALORS QUE FAIRE?
Chacun est légalement en droit de refuser ces cocktails pentavalents
et exiger les seuls vaccins strictement obligatoires. Comme ils ne sont
plus sur le marché, l’affaire ne peut juridiquement que s’enliser ou vous
donner raison. Mais combien auront le cran d’exploiter ce filon qui en
outre permet de passer à la trappe de la vaccination ?

© Contr’infos -ISSN EN COURS - 12 rue des Tazards – Blue Bay – Mahébourg – Ile Maurice
www.micheldogna.fr
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L’oeil des Tropiques
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L’oeil des Tropiques
25 JUIN 2014 - NUMÉRO 24


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