Et bien mes amis et fidèles lecteurs, je me propose aujourd’hui de donner un ENORME coup de massue dans vos certitudes… Comme promis, nous allons parler du SIDA et du si célèbre virus HIV ! Depuis le début de cette épidémie mondiale, nous sommes nombreux à nous poser des questions à son sujet, sans forcément se poser les bonnes… Personnellement, ce qui m’a toujours étonné, c’est la propriété de ce virus à choisir une catégorie de gens pour exercer sa capacité destructrice… Un virus intelligent qui n’aime ni les drogués ni les homosexuels (en particulier ceux qui utilisent le Popper). Ce qui a permis à certains malfaisants de délirer complètement (le SIDA est un châtiment divin). Ceci étant, cette histoire est très fumeuse. Et je vous conseille vivement la lecture du journal Nexus N°79.
En fait, le dogme du virus en prend un sacré coup dans le citron.
Et cela a commencé depuis le début, il serait trop long de tout vous dévoiler ici, mais je conseille fortement aux septiques de ne pas trop hausser les épaules, ils risqueraient de déformer leurs vêtements (comme disait mon cher grand-père).
VIH = SIDA … Prouvé ? Réponse … NON
SIDA sexuellement transmissible … Prouvé ? Réponse … NON
EXISTANCE du VIH … Prouvé ? Réponse … NON
David Rasnick (biologiste moléculaire) : « Le SIDA n’a pas grand-chose à voir avec la science et n’est même pas à la base un problème médical. C’est une construction sociologique maintenue en place par la peur et qui a engendré une espèce de maccarthysme médical capable de transgresser et de mettre à bas toutes les lois de la science »
23 avril 1984, Mme Heckler (ministre de la santé sous Reagan) : « La cause probable du SIDA a été prouvée »…« probable » !!! M. et Mme Gallo/Heckler, un très joli couple avec un non moins joli scénario qui ne tient pas debout… Il s’avère que le soi-disant rétrovirus, cause du SIDA, viole toutes les règles les plus élémentaires de la virologie. En fait, il viole tous les postulats de Koch. Rétrovirus très discret puisqu’on ne le retrouve même pas chez les malades en phase terminale de la maladie. Rétrovirus doué de pouvoirs exceptionnels puisqu’il agit de manière inverse à tous les virus connus.
Des milliers de professeurs de tous poils crient au scandale sur les mensonges entourant cette épidémie, mais AUCUN média n’ose leur donner la parole ! (Quoique ! Il y aurait une soirée thématique prévue à ce sujet sur ARTE, mais je gage que 99,9 % de nos concitoyens préfèreront regarder un feuilleton américain débile, abrutissement programmé !) Mais ça, c’est normal ! On connait !
Savez-vous que des tests ont été réalisés entre des couples, dont ‘un des deux’ était séropositif, pour mesurer le risque de transmission. A votre avis, comme ça, à vue de nez, combien y a-t-il eu de transmission ? ZERO. Ça vous la coupe, hein ?
Vous savez, c’est comme la religion ! Faut pas toucher aux dogmes… Je vous passe les détails concernant l’inquisition subie par tous les professeurs et consorts qui n’aboient pas avec l’establishment ! Mais ça on connait aussi. Demandez aux chercheurs et médecins qui réfutent l’efficacité des vaccinations ce qui leur arrive !
Ceci étant, pour la petite histoire, sachez qu’après la déclaration de guerre contre le cancer en 1970 par Nixon, tous les scientifiques, sous l’impulsion de Duesberg se sont jetés sur la piste virale et des milliards ont été engagés dans cette course aux rétrovirus. Malgré le retour en arrière du même Duesberg qui a mis en évidence les failles de sa théorie, la plupart des chercheurs suivirent cette piste en vain pendant plus de dix ans avec des résultats nuls et des dépenses considérables. En gros, il fallait des résultats et Gallo a profité (il est très bien vu dans les cercles du pouvoir ! Ca rappelle furieusement l’histoire de Pasteur) de cette épidémie, qui se développait dans la communauté gay, pour relancer la pompe à fric… Ouf ! Le chômage pointait à l’horizon. L’origine virale arrange tout le monde : La communauté gay qui voit s’éloigner le spectre de son mode de vie, les scientifiques qui respirent pour leur boulot, les labos qui voient à l’horizon des probabilités de revenus faramineux. Le Pr. Luc Montagnier disait : « Nous étions très excités…Bien entendu, nous n’avions à ce stade, aucune preuve de l’existence d’un nouveau virus »
Malgré l’absence totale de preuves, des prédictions terribles sont assenées à la population mondiale… En 1990, un hétéro sur dix sera mort du SIDA ! Ca calme... Et malgré les révélations du ‘Wall street journal’, expliquant comment le CDC en association avec une grande agence de pub avait truqué la vérité pour obtenir (via la peur) d’énormes subventions, la planète hétérosexuelle se met à paniquer…
Il est important de comprendre que le système immunitaire réagit très fort à la peur. Les boucles de feedbacks entre le système immunitaire et le cerveau sont maintenant prouvées. A tel point que l’association de la peur, la culpabilité, la dépression, la honte, suite à une annonce de séropositivité, suffit amplement pour faire chuter le taux de cellules CD4 et le droit d’accéder au statut de patient atteint d’un SIDA déclaré.
Alors, me direz-vous, à quoi servent les tests de recherche d’HIV ? Si vous pensez comme tout le monde que la séropositivité est un gage de présence de virus, vous vous mettez le doigt dans l’œil jusqu’au coude. En fait, que ça soit le test Elisa, le Western Blot ou l’association des deux, la FDA (Food and drug administration) n’a jamais approuvé ces tests pour un usage diagnostic. En fait, il n’a JAMAIS été possible d’isoler le virus du sida sur un patient testé positif et ensuite de démontrer que celui-ci n’était pas présent chez les séro-négatifs. En fait, malgré des annonces contraires, le virus du sida n’a jamais été isolé. Alors, me direz-vous, comment dans ces conditions, peut-on étudier les protéines composant ce soi-disant virus. Le célèbre professeur Alfred Hassig disait : « Aucun test du sida ne pourra jamais fonctionner du fait que le virus HIV n’a jamais été isolé et que son existence même n’a jamais été démontrée. C’est tout le problème des tests HIV. L’impossibilité d’isoler une entité et de déterminer sans ambigüité quelles sont les protéines qui le constituent a pour conséquence que prouver l’existence du VIH par la présence d’anticorps revient à recourir à un raisonnement circulaire ».
Actuellement, plus de 70 maladies ou états physiologiques peuvent engendrer une séropositivité : la grippe, l’hépatite B, l’herpes simplex 2, bacille de tuberculose, la lèpre, ou même suite à une vaccination contre la grippe ou l’hépatite B, ne sont que quelques exemples………..
Etienne de Harven sous la coupe de Rebecca Culshaw écrit : « les tests ne testent absolument rien. La meilleure conclusion et guérison de cette panique du sida serait d’interdire les tests. Si on cessait de faire ce fameux test de la séropositivité, on ne parlerait plus de sida. ».
Pour ceux qui auraient des doutes sur l’étrange comportement du Pr. Gallo et de sa quête de reconnaissance, n’hésitez pas, intéressez-vous au livre du grand reporter John Crewdson : « the Great AIDS Quest »… C’est édifiant !
Je ne vais pas vous plomber la tête plus longtemps, mais il est à souligner que la persistance d’une simple hypothèse qui a pu accumuler tant de contradictions, d’irrégularités, est toute à fait étonnante.
Pour finir, je vous livre une déclaration du journaliste Michael Fumento : « Le sida n’est pas une maladie de plus, c’est la maladie la plus métaphorique de toute l’histoire. C’est le triomphe absolu de la politique sur la science. ». Comme je le disais plus haut, cela rappelle étrangement le Pasteurisme et les vaccinations pour ceux qui connaissent l’histoire.
Bon, maintenant ! Ce que j’en dis…
Yfic le facétieux